30 janvier 2020
Não quero ser lembrada como a mulher que amou quem não a quis
Je n'ai jamais été très sensible aux charmes du portugais (peut-être chez Mayra Andrade, et encore...) mais je me suis retrouvée à pleurer toutes les larmes de mon corps en entendant Antonio Zambujo. Je suis rentrée hier du Rwanda et c'était chouette....